Rosh hashana – Nouvel an Israël
Je me suis souvent posé la question sur l’âge de la terre, en combien de temps le Seigneur a créer l’univers, les cieux, le ciel, la terre, la végétation, les mers, les ruisseaux, les poissons, les animaux et l’homme. En 6 jours, tous cela est créer par la volonté de Dieu et sa seul Parole. Un mot suffi de sa bouche, elle retentit et c’est qu’il dit qui doit paraître, apparait.
Dieu aurait-il tout créer en 6 jours?
Dans mon travail sur les 6 premiers chapitres de la Genèse, j’explique une théorie possible.
Notre cerveau ne pourrai même l’imaginer, ni même envisager que c’est possible. Moi-même ce que j’en pense objectivement? Si je pense charnellement je donne raison à l’impossibilité, c’est improbable. MAIS….. ma foi donne raison au Seigneur car il est écrit, que rien ne lui est impossible (Luc 1:37).
Les cieux et la terre aurait été créée en six jours humains de semaine ? Avec Dieu tout est possible. Mais aussi que représente un jour pour Dieu ?
Genèse 1 :5 dit « Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. ». Comme nous l’avons vu, le texte dit « jour un ».
L’auteur en parlant du jour un, deux, trois, quatre etc… aurait pu désigner un jour de la semaine ou un jour du mois. Et la question qui se pose, a-t-il voulu parler d’une journée de 24 heures ou d’une période d’une durée incalculable ?
Nous voyons cette problématique dans la vision de Daniel 9 :20-27 qui voit des semaines qui ne sont pas des semaines de jours mais d’années. Nombres 3 :1 en fait référence, lisons ce verset « Voici la postérité d’Aaron et de Moïse, au temps où l’Eternel parla à Moïse, sur la montagne de Sinaï. ». Il est écris « au temps », c’est écrit « yom » en hébreu qui peut définir une période indéfinie. Ce mot peut définir un jour, un temps, une année, un soir et un matin ou une division de temps.
C’est vrai que prendre le jour de la création en journée de 24h c’est une question que certains diront ce que 2 Pierre 3 :8 dit « Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. » (Voir aussi Psaume 90 :4) Il aurait pu se produire mille an pour un jour. D’autres qui le prendront au sens littérale, « c’est écrit 6 jours ». L’un comme l’autre est possible à Dieu ce qui pour nous semblerait impossible. Ce qu’il faut analyser entre chaque jour, surtout le premier et le deuxième, c’est les événements et la situation dans les cieux et de la terre.
La prophétie de Daniel sur les 70 semaines prophétisait la venue du Messie mais aussi quand Israël rebâtira le temple au temps de la fin. La prophétie annonçait aussi le retour de captivité quand Israël fut dispersé dans les nations après la destruction de Jérusalem en l’an 70 de notre ère et la venue de l’antéchrist. Une partie s’est déjà produite à partir de 1948. Que cela se soit accompli, ne me laisse aucun doute sur l’existence de Dieu, et vous ?
Une certaine science tente de démontrer que pour en venir à l’homme, des molécules ont existé, grandi et des monstres peuplaient la terre avant qu’un météore frappe la terre provoquant l’extinction et la poursuite vers une autre évolution jusqu’à l’homme et cela a pris plusieurs million d’année. Mais Dieu démontre que l’existence de l’homme dont les années le prouve, à moins de 6 000 ans d’existence. Israël fête chaque année le nouvel an.
A la publication de cet article, je devrai je crois bien modifié les chiffres et les jours pour tenir la date à jour chaque année. Cette année veille du 25 septembre (29 Eloul), le 26 septembre (1 Tichri) commence la nouvelle année civil, les festivités se termine le 27 (2 Tichri) nous serons en l’an 5783. Ensuite, 9 jours plus tard nous passons a Yom Kippur. Le 1er tichri marque le début de l’année civil, suivra 9 jours plus tard Yom kippur le 5 octobre (10 tichri) et le 10 octobre (15 tichri) souccot, la fêtes des cabanes ou des tabernacle hautement symbolique que à la naissance de notre Sauveur Yehsoua (Jésus).
Le jour de l’an est associé au jour des trompettes, disons « Jour du shofar » que nous appelons aussi Yom Teroua que nous verrons ci-dessous. Prophétiquement, nous devons réaliser l’importance du temps fixé par Dieu.
Il est à noter que les années se compte à partir de la création de l’homme, c’est-à-dire Adam.
Explication >> :Rosh Hashana (ראוש השנה, tête de l’année) est la fête du nouvel an.
Elle a lieu les 1er et 2 Tishri. Contrairement aux autres fêtes qui se déroulent sur deux jours en Galouth et sur un seul jour en Israël, Rosh Hashana dure deux jours partout. La Mishna Rosh Hashana I, 1 dit :
« Il y a quatre jours de l’an. […] Le 1er Tishri est le jour de l’an pour compter les années, pour la shmita, le yovel et l’agriculture. […] »
La tête de l’année se déroule juste avant Yom kippur (jour du grand pardon) et Souccot (fêtes des tabernacles ou cabanes). Sonner le shofar a une haute importance prophétique, car elle annonce pour le temps de la fin le retour du Roi des rois Yeshoua et le jugement finale. Ne devons nous pas nous remettre en question et repartir parfois sur de nouvelle base avec notre Seigneur? Analysons un peu notre année et nous en viendront à la conclusion que oui.
C’est une fête qui embrasse de nombreux symboles.
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- Le jour du Jugement : dans la tradition juive, tous les êtres, juifs et non juifs, sont jugés par le Créateur selon leurs bonnes et mauvaises actions, pendant les deux jours de Rosh Hashana. C’est à cette occasion que D.ieu décide des grandes lignes du destin de chacun, en rapport avec à l’utilisation que chaque homme a fait de son libre arbitre.
Rosh Hashana introduit une période de dix jours dits terribles (yamim nora-im ימים נוראים), qui le séparent de Yom Kipour, au cours desquels le repentir peut influencer le Jugement.
- Le jour du Jugement : dans la tradition juive, tous les êtres, juifs et non juifs, sont jugés par le Créateur selon leurs bonnes et mauvaises actions, pendant les deux jours de Rosh Hashana. C’est à cette occasion que D.ieu décide des grandes lignes du destin de chacun, en rapport avec à l’utilisation que chaque homme a fait de son libre arbitre.
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- Le jour du Shofar : A Rosh Hashana, on sonne le Shofar, en soufflant dans une corne de bélier. Par ce geste on proclame que D.ieu est le véritable Roi de l’Univers, qu’il a créé des règles immuables auxquelles nul ne peut se soustraire[21] .
- Le jour de l’an, qui débute une nouvelle étape dans la vie de chacun et pour l’ensemble du peuple. Il s’accompagne d’un rituel (sédèr סדר) qui met en scène des symboles de réussite, de joie et de douceur pour la nouvelle année.
N’est-ce pas au son de la dernière trompette qu’interviendra le jugement final?
1 Corinthiens 15:50-53 « Ce que je dis, frères, c’est que la chair et le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n’hérite pas l’incorruptibilité. Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’oeil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l’immortalité. »
1 Thessaloniciens 4:16-18 « Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. »
Les deux jours de Rosh Hashana sont chômés. On n’y fait aucun travail et on se consacre à cette convocation divine.
Où la notion de nouvel an trouve-t-elle sa source, et pourquoi le 1er Tishri ? | ||||||||||||||||
La Thorah, qui utilise le terme « année » dans divers contextes pour préciser l’âge des personnages[5] ou compter le temps écoulé, ne fait pas directement mention d’un événement fixé constituant le passage d’une année écoulée à une nouvelle année qui démarre. Le plus souvent, pour indiquer la date d’une solennité à observer, ou narrer un passage de l’histoire des Israélites, les Cinq Livres de Moshé juxtaposent les notions de mois et d’année [42]. Dans tous ces cas, le mois en question est mentionné par son rang au sein d’une année. Par exemple, concernant le Déluge et Noé, une première lecture pourrait laisser penser qu’il s’agit, dans la six-centième année de la vie de Noé, du deuxième mois à partir de son anniversaire.Pourtant d’après d’autres passages[20], la notion d’année a une signification propre, non nécessairement assortie au décompte des mois. Or, si parfois la période annuelle à laquelle il est fait allusion, peut se déduire d’une date ou d’un moment précis (l’arrivée du Peuple en Terre d’Israël, par exemple), il n’en est pas toujours ainsi[53].C’est qu’il existe bien, dans la Thora, un jour du nouvel an.La réponse nous est donnée dans le Traité de Rosh Hashana[54] :Rav Nahman bar Its’haq considère que le verset Devarim XI-12[53] fait allusion au Jugement que D.ieu porte sur la Terre, et le comprend comme ceci : « au début de l’année Il juge ce qui doit se passer à la fin de l’année.» Or, s’interroge la Guemara, quel est ce Jour du Jugement ? On lit dans le Psaume 81 [55] : «4Sonnez le Shofar à la nouvelle lune, au jour fixé pour notre solennité. 5Car c’est une loi pour Israël, une ordonnance du D.ieu de Yaaqov.» Cette fête à la nouvelle lune où retentit le son du Shofar, n’est autre que le 1er Tishri[21]. De plus, le terme utilisé pour l’ordonnance du D.ieu de Jacob est mishpat (מִשְׁפָּט la justice). Il en découle donc que la fête du 1er Tishri, qui est la seule fête correspondant à la nouvelle lune, est le Jour du Jugement. Et puisque D.ieu prononce le Jugement en début d’année, il en résulte que le 1er Tishri est le jour du Nouvel An.
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( Source le calendrier juif)