La fête des pains sans levain
Lévique 23:6 à 8 ; Nombres 28:17 à 25 ; Deutéronome 16:3 à 4:8
Dans toute l’Écriture, la fête des pains sans levain est intimement liée à la Pâque. On ne saurait « croire » au Seigneur Jésus, puis continuer à vivre comme auparavant : « Notre Pâque, Christ, a été sacrifiée : c’est pourquoi célébrons la fête… avec des pains sans levain de sincérité et de vérité ». Le croyant est appelé à montrer dans une vie de séparation du mal qu’il appartient à Christ. Non seulement la Pâque elle-même devait être mangée avec des pains sans levain, mais toute la semaine qui suivait, figure de toute la vie du racheté, le levain devait être banni des « limites » d’Israël : vie individuelle, famille, collectivité. Enfin si la Pâque se célébrait « au lieu que l’Éternel ton Dieu aura choisi pour y faire habiter son nom », la fête des pains sans levain était observée dans les maisons.
Nous pouvons considérer cette fête sous un double aspect :
- a) Christ seul sans levain,
- b) la marche de séparation du racheté.
Ces documents sont susceptible d’évoluer en condensé des recherches
Bonne lecture
Réponse